Tout d'abord, je tiens à vous remercier et à vous féliciter de la persévérance dont vous faites preuve en continuant à venir visiter ce blog maintenant muet depuis plus d'un mois et demi (bouh, honte à moi, shame on me, vergüenza et tutti cuanti...).
Ceci dit, il y plein plein plein d'articles qui sont là, en préparation, dans mon petit cerveau en ébullition.
Le problème, c'est que ma vie est un combat permanent contre une force maléfique et terriblement puissante qui s'appelle l'inertie. C'est elle par exemple qui me scotche devant Utilísima (vous ne connaissez pas encore Utilísima, je sais bien, mais ça ne saurait tarder, je vous en parlerai très bientôt) alors que je pourrais (et devrais) :
- chercher du travail
- apprendre le folklore
- bosser ma licence d'espagnol
- lire "Le deuxième sexe"
- faire ma lessive
et bien sûr, alimenter ce blog.
Promis, les jours qui viennent, je lance une offensive déterminante contre l'inertie qui s'est emparée de moi et je vous en dis un peu plus sur les quelques évènements qui ont meublé ce début de séjour argentin!
Ceci dit, il y plein plein plein d'articles qui sont là, en préparation, dans mon petit cerveau en ébullition.
Le problème, c'est que ma vie est un combat permanent contre une force maléfique et terriblement puissante qui s'appelle l'inertie. C'est elle par exemple qui me scotche devant Utilísima (vous ne connaissez pas encore Utilísima, je sais bien, mais ça ne saurait tarder, je vous en parlerai très bientôt) alors que je pourrais (et devrais) :
- chercher du travail
- apprendre le folklore
- bosser ma licence d'espagnol
- lire "Le deuxième sexe"
- faire ma lessive
et bien sûr, alimenter ce blog.
Promis, les jours qui viennent, je lance une offensive déterminante contre l'inertie qui s'est emparée de moi et je vous en dis un peu plus sur les quelques évènements qui ont meublé ce début de séjour argentin!